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lundi 10 juin 2013
mercredi 7 avril 2010
samedi 21 novembre 2009
(Poème : Eolk, illustration : Nerolf)

Hagards, perdus, mes yeux éperdus de te voir
Sont traîtres larmoyants d`un bug barométrique
Lorsque ton sourire, harpon de mon espoir
S`imprime à ma rétine, en avant la musique
Allons-y, que le bal commence, il faut bien suivre
Les pas rapides du cœur qui mène la danse
Mes membres pantins épuisés, tremblants, s`enivrent
De toi pour oublier l`intenable cadence
Pour ce champagne, cette fête un peu factice
Que tu m`offre cruel, inconscient des violences
De ton rire sur mon corps, des feux d`artifice
Qui dans mes entrailles éclatent en souffrance
J`abandonne mon âme au cœur et ses caprices
Mes pauvres chairs à ses tortures impalpables
J`enchaîne les nuits blanches enchaînée au supplice
De savoir ce bourreau de cœur infatigable
Mais si pour ces quelques bulles dorées je jette
Dans la danse sabbatique de ma passion
Mon âme, mon sommeil, ma morale et ma tête
Ne va pas croire voulue cette déraison
Et chaque jour mes yeux, chasseurs, bêtes traquées
Un peu plus soulignés de cerne chaque jour
A l`affût, trop tendus de te voir approcher
Chaque jour larmoierons de mon violent amour
jeudi 25 juin 2009
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